lundi 1 décembre 2014

Piscine et sodomie : le cross-over

Toujours prendre soin, et le temps
d'un séchage minutieux et complet.
En cas de sodomie express dans
les vestiaires, c'est toujours plus
heureux.
Précédemment ----------> ici <---------- je faisais le récit de mes actes de violence totalement assumés envers les enfants à la piscine. Mettant en évidence leurs comportements sauvages et insupportables. J'évoquais également, avec tout autant d'assurance, les intimes et délicats soucis de mycoses dont j'ai injustement été la cible. Ils sont désormais soignés et guéris. Ma peau n'est plus pourrie par des anomalies épidermiques qui, en temps normal, évitent soigneusement ma personne (comme les boutons de fièvre et ce type de micro-organismes). Je rajouterai même ceci pour ma défense : il y a eu méprise sur la personne à infecter ce jour-là. Le champignon en question et ses petits camarades ont très vite retrouvé, je pense, leur point de chute originel puisque je m'en suis finalement débarrassée dans les meilleurs délais. Après ce point "bactéries", je poursuis mon annonce à propos du sujet principal de ce post. Qui fait donc écho à celui du 22 octobre 2014, et dans lequel je vous racontais également - dans une séquence souvenir & émotion - que j'avais croisé, des années plus tard, au supermarché, le type qui m'a sodomisée pour la première fois. Piscine & sodomie. Deux sujets indépendants l'un de l'autre. Et bien sachez chers amis lecteurs, que parfois, la vie, ses facéties, ses petits rebondissements hasardeux, son ironie, font que l'un et l'autre des univers évoqués peuvent s'inter-pénétrer (sans mauvais jeu de mots ; tu commences à avoir l'habitude Maman, je ne te mets plus en garde désormais). Il y a donc eu incursion d'un personnage en un lieu qui, d'ordinaire, ne lui correspond pas. 

Oui. J'ai croisé mardi dernier le premier type qui m'a sodomisée  +  à la piscine  =  confusion spatio-temporelle.

Pour info : c'est "La Maison à l'Envers" à Moscou.

Mes premières longueurs me semblaient interminables. Je vous garantie qu'une fois que je l'ai vu rentrer dans l'eau, j'ai accéléré le mouvement. Pourquoi ? C'est débile me direz-vous. Pas tant que ça. Il fallait éviter que nous nous retrouvions, lui et moi - donc : ensemble, voire seuls - arrêtés, à l'une ou l'autre des extrémités du bassin. Cette situation aurait été des plus inconfortables. 

Ce cliché est un leurre. Je ne vais jamais nager à Beaublanc.

J'assume plus ou moins publiquement le fait de frapper des mômes à la pistoche, rajoutez à cela la confession de quelques désagréments cutanés, MAIS tellement pas cette rencontre improbable ?! Improbable parce qu'elle m'échappe et comme j'aime bien contrôler mon environnement, elle en devient extra-ordinaire et paradoxale. En plus, à la piscine on est tous à moitié à poil. C'est un domaine sportif qui tend tout de même à "ambiancer" un certain climat érotique. Toujours plus que l'escrime ou le lancé de poids... Vous l'aurez compris : j'en reste donc très confuse et troublée intérieurement. Au niveau de mon apparence extérieure : rien n'y paraît. Question de talent en termes d'illusionnisme

Bien entendu, j'ai tâché de me présenter le plus souvent DE FACE, afin qu'il ne me reconnaisse pas. Dans la mesure ou notre principal commerce s'était établi DE DOS. Je viens nager presque tous le jours et voilà qu'il arrive un mardi soir comme un cheveu sur la soupe. Comme une mycose à la saignée de mon coude. 

Tout de suite l'esprit imagine, calcule, conçoit et envisage des données toutes plus connes les unes que les autres. Parmi ses données : je sais qu'il s'est reproduit il y a quelques années et à la suite de notre expérience à caractère sodomite. Par conséquent, j'en déduis qu'il amène sa drôlesse à la piscine pour quelques cours de natation. Pendant ce temps, il a la paix et s'offre une bonne séance de crawl ?! 

> Après avoir évalué le moment opportun pour :
ne pas sortir de l'eau en même temps que lui ; et pire : passer devant quand il faut grimper l'échelle. Ce qui évoquerait, à l'évidence une situation, une ébauche de positionnement déjà rencontrée entre nous
veiller à ne pas sortir juste après lui. Au risque de passer pour la nana pas assez rassasiée et désespérément restée sur sa faim depuis ce jour où il me claquait le cul. Laissant ainsi supposer - à mon insu - que je ne serais pas contre l'idée de remettre la partie. Ce qui n'est pas forcément le cas. 
> Je parviens donc habillement à évacuer le bassin sans dommages collatéraux. Dans une attitude totalement 'neutre' dirons-nous. Me voilà dans les douches, à côté d'une gamine qui venait tout juste de finir son cours de natation. Évidemment, le cerveau poursuit sa mécanique de projection et autres représentations vigoureusement débiles. Immédiatement, j'en conclue de façon franchement arbitraire que c'est sa gosse. Après d'obscurs calculs impliquant l'année où il m'a pris les fesses, l'année de conception de la dite gamine ainsi que celle de sa naissance [en écrivant ceci, je me rends réellement compte du ridicule de mes spéculations], la taille de la mioche qui me laisse supposer un âge inférieur à 10 ans, ajoutez à cela le total des années qui nous séparent des deux événements clés : je décide de façon franchement arbitraire que c'est sa gosse

Avec du recul, j'avoue avoir zappé deux / trois décimales...

Il est reuch' but give softness
and body to fine, limp or oily hair
Ideal for daily use or
after excercising.
Allant jusqu'à me dire que la mouflette qui n'arrête pas de me regarder alors que je lave ma tête - saturée de pensées extravagantes - est entrain de se dire qu'il n'est pas impossible que la grande bringue qui frotte sa divine chevelure avec un shampoing qui sent délicieusement bon la banane (Lait Lavant à la banane Leonor Greyl : miracle) fasse partie de ses 'Madames' a qui papa fait l'amour dans les fesses ?! Je sais. Ces putains de déductions sont farfelues, grotesques et risibles. En revanche, ce qui reste totalement plausible, c'est que je l'y croise à nouveau. Je me vois encore une fois très mal, et encore moins qu'à la caisse d'un supermarché (je vous rappelle qu'à la piscine nous sommes tous presque nus, il fait chaud et humide...), lui dire : "Salut, tu te rappelles ? On a échangé nos fluides il y a quelques années". C'est très gênant. Et s'impose alors toujours le même suspens couillon de la réponse fatale qui serait celle-ci : "non". C'est pourquoi je préfère rester digne et ne jamais, JAMAIS entreprendre quoique ce soit. Ainsi continuer à procéder à des suppositions intrinsèquement incertaines mais non moins audacieuses. Vous en conviendrez. Dieu. Faites que lui ou sa descendance ne tombe en aucun cas sur ce texte. En même temps je me tire un peu une balle dans le pied dans la mesure où je publie ce type de conneries dans cet espace à l'intimité toute relative, autrement dit : au panoptique démentiel, qu'est le net. Entre mes histoires de  "Passions ardentes à la salle des ventes" starring le commissaire priseur. Et celle-ci, "Souviens-toi l'été dernier, je t'ai sodomisée" starring le jeune voisin, je me protège moyennement. Pour conclure : si je le croise à nouveau, comme d'hab, je débriefe l'histoire ici. Mais surtout, je reste impassible. Ou à l'inverse, peut-être écrirai-je en titre : "Comment je me suis faite enculée à la piscine ?". Ma maman sera ravie.



Sinon, j'ai remarqué que la cocaïne s'est vachement démocratisée en périphérie de la ville. Tellement, qu'on la trouve maintenant en libre service à même le sol. Je vous l'accorde : ce n'est pas très très 'safe' comme spot de consommation et pour se préparer une ligne. En même temps, ça ne peut pas être pire que la poignée de porte de l'ascenseur, juste au dessus. Surement recouverte de maladies moyenâgeuses qui ne demande qu'à faire leur retour. 

À première vue, elle semble très corrosive pour les muqueuses tout de même.



BaboushcaBaboush. 

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire