mardi 26 juillet 2011

Le dessin qui pèse : par BEN l'ourson malin et badin du quatre vingt quatorze

Chers amis, chers miel pops, chers lapins, chères lapines,

J'ai entendu vos appels, vos voix de plus ou moins loin, vos demandes répétitives. Je dirais même vos supplications. Après une première publication d'un des chefs-d'oeuvre de BEN vous en réclamez encore et je vous comprends. Votre réaction est tout à fait normale. Plus encore : tout à fait saine. Vous savez, le monde entier se l'arrache. Il déchaîne les foules et les passions. Provoque des affluences de fans au quatre coins de la planète. Ses dessins, son talent, la fluidité de son feutre provoque l'hystérie chez ses groupies. Vous noterez que son public est exclusivement féminin : parce que BEN représente l'essence même de la masculinité. Il est l'Homme. Il EST homme. Et nous succombons toutes à ses charmes ainsi qu'à ses charmants dessins. Parce qu'il vise juste. Parce qu'il sait extraire la substantifique moelle d'une situation banale, comme celle qui suit et qui lui a inspiré ce nouveau croquis (renversant de vérité). Faisons lui honneur comme il se doit : admirons, silencieusement, à la limite du recueillement... 

Il fait ça bien hein ?!

Jusqu'à la prochaine : Patience. N'oubliez pas qu'elle est mère de toutes les vertus, tout comme BEN : le père de tous nos dévergondages.

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